Comment choisir un ordinateur portable/laptop?

Choisir un ordinateur portable ou laptop peut dépendre beaucoup de ton usage, de ton budget, de tes besoins en mobilité, etc. Voici un guide avec les principaux critères à considérer:

1. Définir ton usage

Avant tout, demande-toi :

  • À quoi servira ton ordinateur ? (bureautique, étudiant, graphisme, montage vidéo, jeux, développement, etc.)
  • Est-ce que tu comptes le transporter souvent ? (mobilité vs rester souvent chez toi)
  • Quel est ton budget ?

L’usage va largement dicter les composants dont tu as besoin.


2. Taille et écran

  • La taille de l’écran influence la portabilité : par exemple, 11–13 ″ pour un ultra-portable très léger, 14–16″ pour un bon équilibre, et plus de 17″ si tu veux une « machine de bureau » mobile.
  • Résolution : la plupart des portables ont du 1920×1080 (Full HD) ; pour du travail graphique, une résolution plus élevée peut être utile.
  • Qualité de l’écran : vérifie le type de dalle (IPS pour de bons angles de vision, OLED si tu veux des couleurs super vives, mais ça peut consommer plus)
  • Autre point : le clavier et le pavé tactile. Si tu tapes beaucoup, assure-toi que le clavier est confortable.

3. Processeur (CPU)

  • Le processeur est essentiel : pour des tâches simples (bureautique, navigation), un Intel Core i3 ou Ryzen 3 peut suffire.
  • Si tu fais du montage, des jeux ou des tâches plus lourdes : viser un i5 / i7 ou un Ryzen 5 / 7 selon le modèle est plus judicieux.
  • Pour des usages très exigeants (jeux, création), un processeur plus puissant + carte graphique dédiée peuvent être nécessaires.

4. Mémoire (RAM)

  • La RAM (mémoire vive) influence fortement la fluidité quand tu utilises plusieurs programmes en même temps.
  • Selon des experts : en 2025, 16 Go de RAM est souvent un bon minimum pour un portable qui dure.
  • Vérifie si la RAM est extensible ou si elle est soudée (parce que si tu ne peux pas la faire évoluer, ça limite le futur).

5. Stockage

  • Privilégie un SSD : beaucoup plus rapide que les disques durs classiques, ça accélère le démarrage et l’accès aux fichiers.
  • Capacité : pour un usage standard, 256 à 512 Go peuvent suffire. Si tu stockes beaucoup de vidéos, photos ou projets lourds, vise plus (1 To, par exemple).

6. Carte graphique (GPU)

  • Pour de la bureautique / navigation / travail léger : une carte graphique intégrée (dans le CPU) est souvent amplement suffisante.
  • Pour le jeu, la création graphique, le rendu 3D : une carte graphique dédiée (NVIDIA, AMD) est très utile.

7. Autonomie de la batterie

  • Vérifie l’autonomie annoncée, mais encore plus important : regarde des tests réels, parce que l’autonomie constructeur peut être optimiste.
  • Si tu vas l’emporter souvent, viser 8 h ou plus peut être judicieux.

8. Connectivité et ports

  • Vérifie les ports dont tu as besoin : USB-A, USB-C, HDMI, lecteur de carte, etc.
  • Le Wi-Fi : selon tes besoins, la génération (Wi-Fi 6, Wi-Fi 6E) peut être un facteur.
  • Les adaptateurs : si ton portable n’a pas tous les ports, tu peux envisager un hub USB-C.

9. Qualité de fabrication

  • Le matériau du châssis (plastique vs aluminium) peut affecter la durabilité.
  • La robustesse des charnières, la qualité du clavier, du trackpad sont aussi importantes.
  • Si possible, teste le portable en magasin pour sentir le clavier / l’écran / la qualité de construction.

10. Système d’exploitation (OS)

  • Windows est très polyvalent.
  • macOS (MacBook) peut être très intéressant si tu es dans l’écosystème Apple.
  • Il y a aussi des Chromebooks (Chrome OS) pour des usages très web / bureautique, mais cela dépend ce que tu veux faire.

11. Budget

  • Fixe un budget clair dès le départ. L’ordinateur idéal dépendra beaucoup de ce que tu es prêt à investir.
  • Plus le budget est élevé, plus tu peux viser des machines performantes, légères et durables.
  • Si tu es étudiant ou que tu n’as pas besoin d’un monstre de performance, tu peux économiser sur certains composants tout en gardant une bonne machine.

Octobre est le mois de la cybersécurité: 9 astuces simples pour vous protéger en ligne

Chaque année, le mois d’octobre est dédié à la cybersécurité. L’objectif ? Sensibiliser chacun, particuliers comme professionnels aux bons réflexes pour naviguer en toute sécurité.
Voici 9 astuces simples et efficaces pour renforcer votre protection numérique 👇


🔒 1. Utilisez des mots de passe forts et uniques

Évitez les mots de passe faciles à deviner (comme 123456 ou azerty).
👉 Combinez majuscules, minuscules, chiffres et symboles, et utilisez un gestionnaire de mots de passe pour les stocker en toute sécurité.


🔐 2. Activez l’authentification à deux facteurs (2FA)

Un code temporaire ou une application (comme Google Authenticator ou Microsoft Authenticator) ajoute une couche de sécurité supplémentaire à vos comptes.


📩 3. Méfiez-vous des messages suspects

E-mails, SMS, appels : ne cliquez jamais sur un lien douteux et ne transmettez pas d’informations personnelles.
🧠 Règle d’or : si c’est urgent ou inattendu, c’est suspect.


💻 4. Mettez à jour vos appareils

Les mises à jour corrigent des failles de sécurité.
➡️ Activez les mises à jour automatiques pour vos systèmes, navigateurs et applications.


🌐 5. Surfez sur des sites sécurisés

Vérifiez la présence du https:// et du cadenas 🔒 avant d’entrer des informations sensibles (paiement, connexion…).


📲 6. Sécurisez vos appareils mobiles

Activez un code PIN ou une empreinte digitale, et évitez le Wi-Fi public sans VPN.
📵 Un smartphone, c’est une porte d’entrée vers toute votre vie numérique.


🧹 7. Changez vos mots de passe régulièrement

Surtout pour vos comptes sensibles.


☁️ 8. Sauvegardez régulièrement vos données

Stockez vos fichiers importants sur un disque externe ou un cloud sécurisé.
En cas de piratage ou de panne, vos données seront à l’abri.


🧑‍🏫 9. Sensibilisez votre entourage

Parlez-en à vos proches : parents, enfants, collègues.
La vigilance collective, c’est la meilleure défense.


Fin de vie de Windows 10 : ce qu’il faut savoir

  • Date officielle de fin de support : Windows 10 (toutes les éditions non-LTSC) arrivera en fin de support le 14 octobre 2025. Après cette date, Microsoft ne fournira plus de mises à jour de sécurité, de mises à jour de fonctionnalités, ni d’assistance technique (support.microsoft.com, microsoft.com).
  • Mises à jour de sécurité étendues (ESU) : Pour ceux qui ont besoin de plus de temps, Microsoft a lancé un programme ESU. Les particuliers peuvent prolonger les mises à jour de sécurité pendant une année supplémentaire, jusqu’au 13 octobre 2026, grâce à plusieurs options :
    • Un plan payant (~30 USD par appareil),
    • L’utilisation de 1 000 points Microsoft Rewards,
    • Ou la synchronisation des paramètres du PC avec OneDrive via un compte Microsoft.

Que faire ensuite ?

  1. Passer à Windows 11
    Solution recommandée si votre matériel est compatible. Vérifiez avec l’outil PC Health Check et via Windows Update.
  2. S’inscrire à l’ESU pour gagner du temps
    Si vous ne pouvez pas encore migrer, vous pouvez prolonger la sécurité jusqu’en 2026 — mais uniquement avec un compte Microsoft.
  3. Sauvegarder vos données
    Utilisez Windows Backup / OneDrive pour protéger vos fichiers et activer certaines options ESU gratuites.

Planifier une migration à long terme
L’ESU n’est qu’une solution temporaire. Il faudra tôt ou tard migrer vers Windows 11 ou une autre solution (ex. MacOS, Linux).

Staging vs Live Environment

La différence entre un environnement de staging et un environnement live réside principalement dans leur usage et leur fonction dans le cycle de développement d’une application ou d’un site web.

  1. Environnement de Staging (Pré-production) :
    • But : L’environnement de staging est un environnement de test qui simule l’environnement de production réel. Il est utilisé pour effectuer des tests finaux avant de mettre une application en ligne.
    • Utilisation : Il permet aux développeurs et aux équipes QA (assurance qualité) de tester des fonctionnalités, des mises à jour, des corrections de bugs, ou des nouvelles versions dans un environnement qui imite exactement la configuration de l’environnement live, mais sans affecter les utilisateurs finaux.
    • Caractéristiques :
      • Il contient des données de test ou une copie des données de production, mais ces données ne sont pas réelles.
      • L’objectif est de s’assurer que tout fonctionne correctement avant de passer à la production.
      • Les utilisateurs qui interagissent avec l’environnement de staging sont généralement des membres de l’équipe ou des testeurs internes.
  2. Environnement Live (Production) :
    • But : L’environnement live, ou production, est l’endroit où l’application ou le site est réellement accessible par les utilisateurs finaux.
    • Utilisation : C’est l’environnement où les utilisateurs interagissent avec l’application ou le site en temps réel. Il doit être stable, sécurisé et fiable, car toute modification ou panne peut affecter l’expérience utilisateur.
    • Caractéristiques :
      • Il contient des données réelles (utilisateurs, transactions, etc.).
      • Toute modification apportée à cet environnement a un impact direct sur les utilisateurs finaux.
      • Les mises à jour dans l’environnement live nécessitent des tests rigoureux et une gestion minutieuse pour éviter les erreurs et les interruptions de service.

Résumé :

  • Staging = Environnement de test, simule la production, permet de tester des modifications avant de les appliquer en live.
  • Live (Production) = Environnement réel utilisé par les utilisateurs finaux, toute modification a un impact immédiat.

En résumé, l’environnement de staging est une version de pré-production où les tests sont effectués pour vérifier qu’une nouvelle version de l’application fonctionnera correctement dans un environnement de production, avant d’être mise à la disposition des utilisateurs finaux.

C’est Quoi un VPS? Pas VPN

Un serveur privé virtuel (ou VPS pour Virtual Private Server en anglais) est un environnement de serveur virtuel qui fonctionne sur un serveur physique, mais qui est partitionné pour créer plusieurs serveurs indépendants. Chaque VPS fonctionne de manière autonome, avec son propre système d’exploitation, ses ressources (comme la mémoire RAM, le CPU et l’espace de stockage), et son accès root (ou administrateur), ce qui permet une gestion personnalisée.

Pour mieux comprendre :

  1. Virtualisation : Sur un serveur physique, la technologie de virtualisation permet de diviser les ressources matérielles en plusieurs serveurs virtuels, chacun ayant son propre environnement. C’est un peu comme si tu avais plusieurs ordinateurs dans un seul.
  2. Autonomie : Chaque VPS est isolé des autres. Cela signifie que si un autre VPS sur le même serveur rencontre un problème (comme une panne ou une surcharge), cela n’affecte pas les autres VPS.
  3. Ressources dédiées : Contrairement à l’hébergement mutualisé où les ressources (CPU, RAM, bande passante) sont partagées entre plusieurs utilisateurs, dans un VPS, tu disposes de ressources fixes et allouées spécifiquement à ton VPS.

Avantages d’un VPS :

  • Contrôle total : Tu peux installer et configurer des logiciels, gérer des mises à jour, personnaliser le système d’exploitation et les paramètres à ta guise.
  • Performances : Il offre de meilleures performances par rapport à l’hébergement mutualisé, car les ressources sont dédiées.
  • Scalabilité : Il est généralement possible d’augmenter les ressources du VPS (comme la RAM ou la capacité de stockage) en fonction de tes besoins, sans avoir à migrer vers un serveur dédié.
  • Prix abordable : Le VPS est moins cher qu’un serveur dédié tout en offrant un niveau de personnalisation et de contrôle proche.

Inconvénients :

  • Gestion : Il faut une certaine expertise technique pour administrer un VPS, car tu gères ton propre système d’exploitation et ses configurations.
  • Isolation partielle : Bien que chaque VPS soit isolé, il partage toujours le même serveur physique avec d’autres VPS, ce qui peut entraîner des limitations en cas de forte demande de ressources par d’autres utilisateurs sur le même serveur.

En résumé, un serveur privé virtuel est une solution d’hébergement entre l’hébergement mutualisé (moins cher, moins flexible) et le serveur dédié (plus coûteux, mais plus puissant), offrant un bon compromis pour les utilisateurs ayant des besoins spécifiques mais qui ne souhaitent pas investir dans un serveur physique complet.

SSL Certificate, What is it?

An SSL (Secure Sockets Layer) certificate is a digital certificate that authenticates the identity of a website and encrypts information sent to the server using SSL technology. Here’s why SSL certificates are important:

  1. Encryption: SSL certificates encrypt data transmitted between a user’s browser and the website’s server. This encryption ensures that sensitive information such as usernames, passwords, credit card details, and other personal information remains private and cannot be intercepted by malicious third parties.
  2. Authentication: SSL certificates also authenticate the identity of the website. This means that when users visit a website secured with SSL, they can trust that they are connected to the legitimate website they intended to visit and not an impostor or a malicious site impersonating the legitimate one.
  3. Trust and Credibility: Websites with SSL certificates display a padlock icon in the browser’s address bar and use https://mysite.com instead of http://mysite.com. These visual indicators signal to users that the website is secure and that their information is protected. This helps build trust and credibility with visitors, especially important for ecommerce sites and any website collecting sensitive information.
  4. SEO Benefits: In recent years, major search engines like Google have incorporated SSL as a ranking factor. Websites with SSL certificates may receive a slight boost in search engine rankings compared to those without SSL. This incentivizes website owners to secure their sites with SSL to improve visibility and traffic.
  5. Compliance Requirements: Some regulatory requirements and industry standards (such as PCI-DSS for payment card information) mandate the use of SSL certificates to protect sensitive data. Adhering to these standards is crucial for avoiding penalties and maintaining compliance.
  6. Protection Against Phishing: SSL certificates help protect against phishing attacks where attackers try to trick users into visiting malicious websites by impersonating legitimate ones. With SSL, it’s more difficult for attackers to create convincing fake websites because they can’t obtain valid SSL certificates for their malicious domains.

In summary, an SSL certificate is essential for securing data transmission, establishing trust with visitors, improving search engine rankings, complying with regulations, and protecting against various cyber threats. It plays a critical role in today’s internet landscape where online security and privacy are paramount concerns for both businesses and users.

EDR vs XDR

Endpoint Detection and Response (EDR) and Extended Detection and Response (XDR) are both cybersecurity solutions aimed at detecting and responding to threats, but they differ in scope and capabilities:

Endpoint Detection and Response (EDR):

  1. Focus: EDR solutions primarily focus on monitoring and responding to security threats at the endpoint level. Endpoints can include devices like desktops, laptops, servers, mobile devices, and any other endpoint connected to a network.
  2. Capabilities: EDR tools monitor endpoint activities in real-time, collecting telemetry data such as process executions, file accesses, registry changes, network connections, and more. This data is analyzed to detect suspicious behavior or indicators of compromise (IOCs).
  3. Response: EDR provides capabilities for incident response directly at the endpoint. This may include isolating infected endpoints, terminating malicious processes, rolling back changes, or triggering alerts for further investigation by security teams.
  4. Integration: EDR solutions often integrate with other security tools and platforms to enhance visibility and automate response actions. They play a crucial role in endpoint protection platforms (EPP) by providing advanced threat detection and response capabilities.

Extended Detection and Response (XDR):

  1. Scope: XDR expands beyond EDR by integrating data from multiple security layers across endpoints, networks, and other security controls such as email gateways, cloud environments, and servers. It provides a unified view of security threats across the entire IT environment.
  2. Integration and Correlation: XDR platforms aggregate and correlate data from diverse sources including EDR, network traffic analysis (NTA), cloud security posture management (CSPM), and more. This holistic approach enables XDR to detect and respond to sophisticated, multi-vector attacks.
  3. Analytics and Automation: XDR utilizes advanced analytics and machine learning to identify patterns and anomalies indicative of potential threats across different security domains. It emphasizes automation for incident detection, investigation, and response, reducing manual effort and response times.
  4. Enhanced Threat Visibility: By integrating data from multiple sources, XDR provides enhanced visibility into complex attack chains that span across endpoints, networks, and cloud environments. This helps security teams to detect and mitigate threats more effectively.

In summary, while EDR focuses on endpoint-specific threat detection and response, XDR extends this capability across multiple security layers and domains, offering a more comprehensive and integrated approach to cybersecurity. XDR is increasingly adopted by organizations seeking to unify their security operations and improve their ability to detect and respond to evolving cyber threats across their entire IT infrastructure.

BlueKeep Vulnerability

The National Security Agency (NSA) has recently issued an urgent advisory to ensure that all Windows-based systems are fully-patched and updated. BlueKeep is a software security vulnerability affecting computers using older versions of the Microsoft operating system (mainly Windows 7, Vista, XP, windows Server 2008 and 2003); Windows 8 and Windows 10 are unaffected. Microsoft considers the flaw « critical », and recommends installing available update patches as soon as possible to affected systems to mitigate the vulnerability, as well as disabling Remote Desktop Services if they are not required. This is a serious vulnerability and it should be addressed right away.

Windows 7 – End of the Road

All good things must come to an end, even Windows 7. After January 14, 2020, Microsoft will no longer provide security updates or support for PCs running Windows 7. But you can keep the good times rolling by moving to Windows 10.
You can continue to use Windows 7, but once support ends, your PC will become more vulnerable to security risks. Windows will operate but you will stop receiving security and feature updates.
As long as your PCs meet the hardware requirements, should be able to upgrade to Windows 10, with a valid license.

Microsoft Windows support lifecycle end dates
Windows operating system Latest update or service pack End of mainstream support End of extended support
Windows XP Service Pack 3 14 April 2009 8 April 2014
Windows Vista Service Pack 2 10 April 2012 11 April 2017
Windows 7 Service Pack 1 13 January 2015 14 January 2020
Windows 8 Windows 8.1 9 January 2018 10 January 2023
Windows 10 Service updates provided every March and September Refer to Microsoft Product Lifecycle database 14 October 2025

 

What is IaaS?

Infrastructure as a service (IaaS) is a form of cloud computing that provides virtualized computing resources over the internet.
In an IaaS model, a cloud provider hosts the infrastructure components traditionally present in an on-premises data center, including servers, storage and networking hardware, as well as the virtualization or hypervisor layer.

The IaaS provider also supplies a range of services to accompany those infrastructure components. These can include detailed billing, monitoring, log access, security, load balancing and clustering, as well as storage resiliency, such as backup, replication and recovery.

IaaS customers access resources and services through a wide area network, such as the internet, and can use the cloud provider’s services to install the remaining elements of an application stack. For example, the user can log in to the IaaS platform to create virtual machines; install operating systems in each VM; deploy middleware, such as databases; create storage buckets for workloads and backups; and install the enterprise workload into that VM